Crise ou pas, le capital ne cesse pas de révolutionner les forces productives. Il faut bien admettre que depuis 80 ans, il ne s’en prive pas. Mais à partir de quelles avancées des connaissances, peut-il nourrir un tel appétit ? A quelle source s’abreuvent les nouvelles machines qu’il impose ? En quoi sont-elles immensément différentes de la machine-outil ?
Complexité et simplicité, apprentissage et empirisme, forces et information