Après les élections qui ont eu lieu en juillet, les médias ont parlé de démocratie en Libye. Jochen Hippler, un universitaire allemand qui suit le pays de près, a déclaré à l’attention de Deutsche Welle : « J’ai l’impression que ce fut un peu euphorique. En fait, les religieux radicaux ont gagné en pouvoir. (…) L’autorité du pouvoir national se limite surtout à la capitale Tripoli. Quand on sort un peu de la ville, ou même quand on va voir ce qui se passe dans certains quartiers, la situation est tout autre ». Des milices et divers groupes ethniques règlent leurs différends les armes à la main. (Deutsche Welle, 26 août)

Lu sur Solidaire, l’hebdomadaire du PTB

Le 29 août 2012