Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Recul et avenir du PCF...
Ce livre "Recul et avenir du PCF« de Bernard Tabuteau est une véritable arnaque pour qui était habitué aux publications du »Temps des Cerises" puisque l’auteur ne laisse figurer que des initiales là ou des personnalités bien connues de la liquidation du parti s’expriment comme le révèle la rubrique consacrée à ce livre dans la lettre de la fondation Gabriel Péri.
Ainsi pas étonnant que ces personnes/personnalités clandestinisée qui en somme avancent parées du masque de militants anonymes préconisent, soit l’entrée dans une grande fédération de la gauche, soit la création d’une formation commune à la gauche de la gauche comme alternative à cette crise sans accorder aucune autre hypothèse de reconstruction ou de continuité a la forme parti, expression des combats de la classe ouvrière alliée aux autres couches populaires.
Cette ruse éditoriale parée des attributs de la sociologie et de l’histoire pourrait laisser croire qu’il s’agit d’expression représentative de "la diaspora communiste" quand il ne s’agit que d’une fraction de militants/dirigeants perdus (je le dis comme l’on avait évoqué après un putsch des années soixante des soldats perdus, il s’agissait de leur crise identitaire, de leurs défaites et de leur ressentiments face à des événements qui les désapprouvaient et leur indiquaient une autre direction, quand durant toute la phase précédent, ils avaient refusé d’entendre qu’ils étaient illégitimes).
La fondation Gabriel Péri est une création de Robert Hue (qui avait obtenu suite à une rencontre mémorable des crédits de Fillon) et continue à œuvrer sous sa houlette, donc à vouloir tourner la page d’un parti communiste forcément dépassé dans son essence même selon lui.
Certains travaux ou initiatives parfois intéressants peuvent donner le change mais le fond est là. Le fait même que cette fondation ouvre sa lettre par l’information selon laquelle elle a participé au 2e forum des think tanks est en soi tout un programme… et un aveu.
Que pourrait avoir à faire une émanation d’une organisation révolutionnaire dans une rencontre de ce type où vont se côtoyer des gens de la droite la plus extrême à la social démocratie la plus molle, qui s’instituent « faiseurs d’opinions » et sont souvent grassement payés pour cette activité qui est aux antipodes de la démocratie ?
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