Cher François, Cher Jean-Luc,
Après les crimes barbares de Montauban et de Toulouse, je souhaite m’adresser à vous deux, car il ne s’agit ni d’un fait divers, ni de l’acte isolé d’un fou qui aurait versé dans l’intégrisme religieux. Un devoir de lucidité s’impose à nous.
Ces événements, qui ont (...)