Macron est bien le président des riches, sans soutien populaire, mais avec la force du capitalisme mondialisé et de ses institutions européennes. La recomposition politique ne produira que le nouvel agencement médiatique nécessaire à l’exercice de leur domination.

Le mouvement social doit mesurer que seule l’intervention organisée et unie du monde du travail peut faire reculer le capitalisme mondialisé et son cortège d’inégalités et de violences.

Cet effort d’organisation, d’unité, de cohérence des luttes et d’un projet de changement de société a besoin d’une bataille communiste, d’un programme communiste concret, d’un parti communiste aidant à faire grandir la conscience de classe du besoin d’une véritable révolution, d’un véritable changement de société, du socialisme.