Si l’on excepte le mot libéralisation utilisé dans presque tous les paragraphes, il n’y a rien à redire à ce texte. On peut toutefois mettre à l’actif d’André Chassaigne, l’emploi, par deux fois (!), du mot privatisation qui exprime beaucoup mieux la réalité de cette décision. Car je ne vois pas en quoi, (...)